
L’un est un peu virtuose de la guitare mais est surtout naïf et candide. L’autre, doué pour la contrebassine, est d’une mauvaise foi cruelle et assumée. C’est un voyage dans leur folie qu’ils promettent dans ce « concert » déglingué et délirant.

D’étoiles dansantes en bons gros tétons laiteux, Ancelin - le héros - est ballotté au milieu de personnages ciselés à la hache, tous aussi attachants que terribles… Frédéric David fait partager ce qui l’habite depuis toujours : des histoires « faites...